L’étude développe trois axes : redéfinir des liens qualitatifs avec le reste de la ville, redonner de la lisibilité aux espaces, et s’attacher à la tranquillité des habitants. Ainsi, la limite sud se vit comme une interface perméable diminuant l’enclavement.
La place commerçante en devient le seuil. Une perspective visuelle y commence et plonge au cœur du quartier, l’aérant. L’ambiance du parc s’étend à travers l’ensemble du quartier, assumant son rôle de poumon vert.